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Pâque, la Résurrection et le troisième Temple

par | vendredi 25 avril 2025 | Ésotérisme et nouvelle Gnose

Temps de lecture estimé: 17mn

Le troisième Temple, d’après les prophéties bibliques, doit être construit à la fin du cycle, en coïncidence avec le retour du Messie — c’est-à-dire quand l’humanité aura suffisamment élevé sa conscience. Et comme tout ce qui relève de la Bible en général et de ses prophéties en particulier, le troisième Temple fait l’objet de la lecture littérale, grossière et primaire des religieux israélites dogmatiques voire fanatiques, les talmudistes et les sionistes qui prennent au pied de la lettre des textes qui doivent en fait être décodés pour être compris. Sans entrer dans un tel décodage, qui suppose une maîtrise minimale de l’alphabet hébraïque et de sa guématrie, nous allons néanmoins défricher un tant soit peu ce sujet, ne serait-ce que pour lui restituer sa véritable dimension gnostique, ésotérique et initiatique. Nous verrons ainsi que la construction du Temple, la Pâque et la Résurrection recouvrent en fait une seule et même symbolique

Le troisième Temple est décrit et annoncé dans le Livre d’Ezéchiel. Le prophète Ezechiel était un Lévite, membre de la caste sacerdotale qui était la seule habilitée à s’occuper de l’Arche d’Alliance. Premier constat intéressant : il reçoit sa vision 4 jours avant Pâques… Le 4 désigne la stabilité, l’ancrage dans la matière, la maîtrise de la matière. La construction du Temple est donc le résultat de cette maîtrise, la connaissance de soi et la compréhension du corps et des cinq éléments qui constituent tout l’univers. Autrement dit, seul quelqu’un de bien ancré, bien enraciné dans la terre, dans sa culture, dans son identité, ancré dans une histoire reconnue et assumée, sera capable d’ériger son temple intérieur, avant d’accéder au Temple cosmique. 

Il s’ensuit également que la construction du Temple est donc directement liée au processus initiatique de la Pâque, le saut de conscience ou l’éveil de conscience de l’individu ressuscité, c’est-à-dire « né à nouveau » (la « seconde naissance »), entré dans une nouvelle modalité d’existence, d’une ampleur et d’une intensité inédites, en prise et en phase directe avec la divinité, l’essence divine de toute substance, la divinité de la réalité (et la réalité de la divinité), libéré des croyances et des charges issues du passé, des pesanteurs historiques et sociales, karmiques et morales, l’individu pour lequel, si rien n’a changé autour de lui, pour lui rien n’est plus comme avant, puisqu’il voit au-delà des apparences et que nulle tentative archontique ne l’atteint plus. 

Autre remarque intéressante : le jour où Ezéchiel reçoit sa vision du troisième Temple est le 10e jour du mois de Nissan. C’est le jour où les prêtres choisissent l’agneau qui sera sacrifié à Pâques (Exode, XII, 3). C’est aussi le jour où les Hébreux, pendant leur fuite après la sortie d’Egypte, ont franchi le Jourdain pour la première fois (Josué, IV, 19), expérience baptismale puisque c’est dans le Jourdain que Jésus-Christ a reçu le baptême de la part de Jean-Baptiste, qui était revêtu d’une peau de bête, une tunique en peau de mouton, comme le montrent souvent les représentations du Baptême.

Jean le Baptiste et sa peau de bouc… (Eglise Sainte-Marie-Madeleine de Rennes-le-Château)

 

La signification de ces trois événements est donc la même :

— l’agneau qui est sacrifié à Pâques désigne la transmutation des vieilles énergies périmées issues de l’Ère du Bélier pour pouvoir entrer dans l’Ère des Poissons ; l’agneau, en effet, est le bébé du bélier, c’est un bélier en puissance, porteur des énergies printanières, martiales, exubérantes et brutales du Bélier en tant que signe zodiacal ; il n’est donc pas question d’égorger un agneau pour répandre son sang sur un quelconque autel mais de transmuter en soi les énergies martiales du Bélier zodiacal ; 

— le franchissement du Jourdain désigne pareillement l’accès à la maturité et à la responsabilité de l’âge adulte, puisque la fuite d’Egypte symbolise, à travers l’aventure des Hébreux, la sortie de l’esclavage adolescent, quand on est asservi par les instincts et l’animalité, pour entrer dans l’âge de la maîtrise et de la connaissance de soi, l’âge adulte

— et enfin le baptême d’eau désigne évidemment le passage (Peschah, « Pâque ») de l’homme ancien à l’homme nouveau, par la transmutation des anciennes énergies animales et instinctives, ténébreuses et aliénantes, karmiques et archontiques, en énergies nouvelles, lumineuses, épanouissantes et sanctifiantes. Le baptême, qui purifie et rectifie l’individu, permet son intégration esprit-âme-corps et consacre sa plénitude, son intégrité, sa sainteté, sa pleine et parfaite santé — en se rappelant que « sainteté » et « santé » sont de même étymologie : être SAINT, c’est d’abord être SAIN. Et « la santé, comme le dit Alejandro Jodorowski, est la Conscience divine. Le chemin qui mène à elle est l’information, à condition de considérer l’information non pas en tant que mots mais en tant qu’expériences d’une connaissance qui, inscrite dans le corps, se présente comme une demande de ce qui manque. Et ce qui manque, c’est l’expérience de l’union avec le Dieu intérieur. [Notre divinité, notre part de divinité intérieure, celle qui émerge et se manifeste à partir du baptême et grâce au baptême, à partir de la Pâque et grâce à la Pâque, à partir du franchissement du fleuve et grâce au franchissement du fleuve.] La souffrance est ignorance. La maladie est absence de conscience. » C’est la première des « Quatre Nobles Vérités » du canon bouddhique : la cause de toute souffrance est l’ignorance.

Jésus-Christ, lui aussi, nous a parlé du Temple : « Détruisez ce Temple et je le rebâtirai en trois jours » (Marc). Et trois jours également séparent sa mort de sa résurrection (événements eux aussi symboliques). Cela implique donc, là encore, une identité entre la construction du Temple et la Résurrection : ce sont deux processus identiques, à travers des récits fort différents en apparence mais tout à fait équivalents au fond.

L’Evangile dit que Jésus-Christ est mort à 33 ans ; or, le premier Temple de Salomon, au VIe siècle avant notre ère, a été détruit au bout de 33 ans. Comme si la destruction du premier Temple symbolisait en fait la mort du « vieil homme », la ruine de l’égo et des apparences morales et sociales, la transmutation des énergies ténébreuses et animales en énergie de lumière, de justice et de vérité — de justice et de vérité avant tout envers soi-même et pour soi-même.

Peut-on alors voir une analogie entre les trois Temples successifs et la trinité corps-âme-esprit ?

— Le premier Temple est attribué à Salomon mais c’est Hiram de Tyr, appelé « fils de la Veuve », qui en fut le constructeur. La Veuve désigne la déesse Isis, maîtresse du monde matériel (Mater, matière) et du monde souterrain, la Terre-Mère, ce qui englobe évidemment la maîtrise du corps physique, ce corps fait d’argile terrestre, de carbone et de silice, éléments minéraux… C’est un initié de la Déesse, un initié aux cultes féminins, un mage qui maîtrise les forces telluriques, les énergies corporelles et celles de la Terre, qui, seul, pouvait bâtir le Temple. Le premier Temple correspond donc au corps.

Salomon, qui observe ici les étoiles avec un astrolabe, tel un mage persan, n’a pas pu bâtir le Temple : il a dû faire appel à un connaisseur, non du Ciel, mais de la Terre. La dualité de Salomon et de Hiram est celle de Jakin et Boaz.

  

— Le deuxième Temple a été exploité par les Pharisiens et envahi par les marchands, prêtres menteurs et imposteurs, mafieux et parasites, ces marchands du Temple que Jésus-Christ a expulsés en les traitant d’« hypocrites », de « voleurs » et de « race de vipère », parce qu’ils ont souillé le Temple (et trahi la volonté divine) avec leur commerce malsain et leur amour toxique de l’argent, leur cupidité, leur avidité ; et l’argent est un prolongement de l’affectivité, les pulsions, les passions, le besoin de possession et de jouissance… c’est-à-dire les besoins inassouvis de l’âme, les besoin déréglés de l’âme, car « l’âme se nourrit de feu » (Aïvanhov), « elle se nourrit du feu de l’esprit », et faute de la lumière du feu supérieur, du feu spirituel (tout ce qui relève de la justice, la vérité, la bonté, la beauté), elle se nourrit du feu inférieur, celui des ténèbres et des passions animales. Enfin, et logiquement, c’est par une saine et sainte colère, l’expression d’une âme enflammée, que Jésus-Christ frappe et fout dehors les marchands du Temple. Le deuxième Temple correspond donc à l’âme.

— Enfin le troisième temple a été présenté, dans la vision qu’a reçue le prophète Ezéchiel (43, 10-11), comme le résultat de la repentance, le grand passage initiatique de la metanoia, le retour sur soi pour mettre à zéro tout ce qui est faux en soi, la grande purification de toutes les pesanteurs issues du passé qui entraînent le péché, c’est-à-dire le fait de manquer la cible, de manquer de droiture et de rectitude : « Toi, fils de l’homme, montre ce temple à la maison d’Israël, qu’ils en mesurent le plan, et qu’ils rougissent de leurs iniquités. S’ils rougissent de toute leur conduite, fais-leur connaître la forme de cette maison, sa disposition, ses issues et ses entrées, tous ses dessins et toutes ses ordonnances… » Après cette mise à zéro et cette rectification, le Temple nous est révélé : le fonctionnement subtil de l’univers, le macrocosme, le Temple cosmique, et celui de notre corps, le microcosme, le Temple humain, tout cela nous apparaît, devient clair, se comprend et s’intègre. C’est un jalon de l’union de soi et du Soi. Le troisième Temple correspond donc à l’esprit.

Le troisième Temple est aussi appelé la « Cité Céleste », la Jérusalem céleste, nous dit Robert Ambelain, « ésotérique image de l’Homme Collectif », « dont le Christ était le nouvel Hiram, l’unique Architecte ».

Comment cela ?

Par le baptême de feu, cette fois, puisque Christ, Chrestos, Maschiah, veut dire « oint », à propos de celui ou celle qui a reçu l’onction, c’est-à-dire l’Esprit saint : un Christ est un être qui a été baptisé du feu de l’Esprit saint. C’est donc aussi un initié, puisque toute initiation se caractérise et se définit par « la réception d’une influence spirituelle » (comme disait René Guénon).

Et la Cité Céleste, ajoute Ambelain, a pour symbole le Dodécaèdre, qui était l’image, d’après Platon — puisque le Dodécaèdre est le cinquième des cinq « solides de Platon —, « de ce plasma cosmique qu’est l’Éther », Éther qui est, quant à lui, le cinquième élément, la quintessence, principe et origine des quatre éléments qui composent tout l’Univers et tous les êtres, le feu, l’air, l’eau et la terre.

Le Dodécahèdre.

 

Construire le Temple, c’est donc acquérir la maîtrise des cinq éléments, en soi et autour de soi, à travers notre triple constitution esprit-âme-corps, ce qui permet de faire advenir le Royaume du Ciel sur la Terre, de faire descendre sur Terre la Jérusalem céleste.

Et comme le dit Jésus-Christ (Jean, IV, 21-24) : « l’heure vient où ce ne sera ni sur cette montagne ni à Jérusalem que vous adorerez le Père […] Mais l’heure vient, et elle est déjà venue, où les vrais adorateurs adoreront le Père en esprit et en vérité ; car ce sont là les adorateurs que le Père demande. Dieu est Esprit, et il faut que ceux qui l’adorent l’adorent en esprit et en vérité. » C’est-à-dire ici et maintenant, H24, par l’esprit (les pensées), par l’âme (les sentiments) et par le corps (nos gestes et nos actes)

Le prophète Ezéchiel donne également les dimensions du Temple. Un chercheur en numérologie, Devon Kramer, s’était déjà penché sur les dimensions de l’Arche de Noé et de l’Arche d’Alliance. Voici ses trouvailles, qui éclairent bien la dimension ésotérique de la Bible.

(Image empruntée à M. Devon Kramer, que je remercie pour ses informations.)

 

L’Arche de Noé : elle mesure 300 coudées de long, 50 coudées de large, 30 coudées de haut. Si on prend le rapport de la largeur sur la hauteur, nous avons : 5/3 = 1,66666.

L’Arche d’Alliance : ses dimensions étaient de 2,5 coudées de long, 1,5 coudée de large et 1,5 coudée de haut, aboutissant également au ratio 1,6666 puisque 2,5/1,5 = 1,66666.

Apocalypse, XIII, 18 : « Celui qui a de la sagesse, qu’il compte le nombre de la bête, car le nombre est de l’homme, et le nombre est de 666… » Multipliez 13 par 18, et vous obtenez 234. Le miroir de 234 est 432, et 234 + 432 = 666.

Le carbone est le seul atome constitué de 6 électrons, 6 protons et 6 neutrons. Et nous sommes largement constitués de carbone. LA Bête, c’est donc la matière, les domaines infimes et obscurs, les tréfonds de la matière, les profondeurs du corps. 

6 x 6 x 6 = 216.

216 est le nombre d’heures en 9 jours (9 => la totalité) et une ère zodiacale (ou ère astronomique) dure 2160 ans. Douze ères : 2160 x 12 = 25 920 (nombre d’années de la précession des équinoxes).

Il y a 2 160 degrés au total dans un cube.

2 160 miles : diamètre de la Lune

216 x 2 = 432, et 432 000 miles est le rayon du Soleil.

432 x 432 = 186 624, soit la vitesse de la lumière en miles.

Le 216ème nombre dans la séquence de Fibonacci est ceci : 382 699 285 659 014 174 244 530 850 035 136 059 033 084 785.

Tous ces chiffres additionnés totalisent 216.

Les 144 premiers chiffres de pi (après la décimale) additionnés = 666

144 + 216 = 360 !

144 x 216 = 31 104, et il y a 31 104 versets dans la Bible !

Apocalypse, II, 16 (chapitre 2, verset 16, soit 216) : « Je suis l’Alpha et l’Oméga, le début et la fin », ce qui équivaut à 216 en guématrie.

Voici maintenant une série d’images de géographie sacrée : des figures géométriques tracées sur le territoire, qui ont pour points d’appui des hauts lieux énergétiques et symboliques (montagnes, mégalithes, églises, cathédrales, châteaux cathares…). Ces figures expriment les valeurs cycliques, cosmiques et apocalyptiques citées ou codées dans la Bible (le 144, le 216, le 360 et le 666), et qui constituent des parcelles ou des fragments du Troisième Temple, cette architecture subtile qui informe les territoires et leurs habitants en cohésion et en synergie avec les grands rythmes cosmiques.

Figure en forme de pierre taillée ou de diamant, que j’ai appelée le Graal pyrénéen. 

La véritable mission des Templiers a répondu à ce grand projet, eschatologique et apocalyptique, christique et marial, prévu par les prophéties pour notre fin de cycle : la mise en œuvre du troisième Temple, le Temple de Notre-Dame, c’est-à-dire le Temple du Saint-Esprit, — qui succède logiquement à celui du Père (le Temple de Salomon, détruit en 586 avant J.-C.) et celui du Fils (le deuxième temple rebâti par Zorobabel et détruit en 70 par le général romain Titus). Ce troisième temple, le centre spirituel ultime de notre fin de cycle, est censé durer pour toujours et devrait donc être de nature subtile et non matérielle

« Construire le Temple », de manière opérative (en termes de Gnose, d’ésotérisme et d’initiation), c’est acquérir la connaissance et la maîtrise du corps — en particulier par l’activation des sept centres subtils (les sept chakras) —, ainsi que des cinq éléments, ce qui implique donc la maîtrise des dimensions subtiles, mentales et sentimentales de l’être humain (dimensions qui gouvernent notre réalité corporelle, tout comme l’âme domine et informe le corps). La construction du Temple — au sens où, comme le disait Guilhem Bélibaste, « le vrai temple de Dieu, c’est le cœur et le corps de l’homme » — inclut donc la maîtrise de l’émotivité, clef du passage de l’animalité à l’humanité

Mais il y a aussi un Temple extérieur qui doit être construit à la fin du cycle, un troisième Temple à l’échelle de la Terre elle-même, qui sera, en quelque sorte, la synthèse totale et ultime de tous les temples de l’histoire des peuples, et qui correspondra, lui aussi, mais cette fois-ci au point de vue de la planète Terre elle-même, à la maîtrise complète de son corps, c’est-à-dire à l’intégration de toutes ses dimensions subtiles et de son émotivité, lesquelles consistent dans son énergie et son activité telluriques et atmosphériques, dans les réseaux énergétiques souterrains et aériens, dans les courants électromagnétiques circulant dans le sol, à la surface du sol et au-dessus du sol1. Tout cela représente en quelque sorte, si l’on ose dire, l’émotivité terrestre, et la mise en ordre de cette activité sera couronnée par l’émergence d’un sanctuaire, certes invisible mais néanmoins perceptible, qui concrétisera ce processus d’éveil planétaire. Ce troisième Temple viendra en fait consacrer l’avènement du Royaume du Ciel sur la Terre, actualiser l’accomplissement de l’Apocalypse et la descente de la Jérusalem céleste sur la Terre. 

Il semble donc que l’architecture du troisième Temple soit déjà en place, que ses structures subtiles soient déjà dessinées, et qu’il existe donc déjà virtuellement. Son existence et sa réalité demeurent méconnues et ignorées, alors que nous vivons sous l’influence de ce monument subtil, sous l’effet bénéfique de cette architecture énergétique, qui se superpose à nos territoires depuis longtemps déjà.

C’est comme si l’ascension de la Terre et son passage en 5e dimension s’exprimaient ou se manifestaient à travers une superstructure subtile, ordonnée aux paysages, aux montagnes et aux monuments, une architecture qui sanctuarise la Terre elle-même, qui révèle sa dimension sacrale et transcendantale, celle d’un sanctuaire : la Terre de 5e dimension est un sanctuaire, elle est un temple (alors qu’en 3e dimension, elle a plutôt été conçue et perçue comme un ensemble de ressources à exploiter sans vergogne ainsi que comme un dépotoir) — le troisième et dernier Temple, c’est elle tout entière.

Le triangle qui relie la basilique de Pontmain (où eut lieu une apparition mariale peu connue, le 17 janvier 1871…), la petite église paroissiale (et non la basilique) de Fatima, et le Sphinx de Gizeh, a une surface de 1 999 666 km2. Cela induit une relation intime entre la tradition égyptienne (le Sphinx), les apparitions mariales et… le mystère de Rennes-le-Château. 

  

1 Il y a donc analogie entre l’émotivité humaine et l’émotivité planétaire, car il s’agit d’une énergie de même nature, de substance identique (électromagnétique et scalaire) et qui s’organise et se manifeste de la même manière, en circulant au long de flux et de canaux subtils, des méridiens qui relient les différents centres énergétiques subtils, les organes, etc., dans notre corps comme dans le corps de la Terre.

S T A G E
en
IMMERSION
"Opération BUGARACH"

  

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